L’an passé, lorsque le Nobel fut décerné à un écrivain français, la presse américaine s’est demandée “who ?”. Cette année, le blogger le plus illustre de France n’a pas trouvé mieux que de s’épancher sur son favori (Roth) et, lui qui a toujours quelque chose à dire, a été contraint au silence par le choix de l’Académie suédoise. De JMG who à Herta qui, on se dit qu’on n’a pas de quoi faire les malins. C’est pourquoi le FFC a contacté son correspondant allemand pour qu’il nous cause de cette Herta Müller, inconnue par ici malgré trois traductions. Ne pas savoir qui est l’auteur est toujours de notre faute, jamais celle du jury.
quoth the introduction over at the land of plenty, a.k.a. the Fric Frac Club, to Francois Monti‘s diligent and competent translation and reworking of my Herta Müller essay. May I add that it’s considerably better than the original? It is. Dig in. Here’s the link. Enjoy.